Fallen in the Darkness
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Poudlard dans des temps obscurs
 
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 Trying too hard to play with fire, you get burnt. [Pv : Abby]

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MessageSujet: Trying too hard to play with fire, you get burnt. [Pv : Abby]   Trying too hard to play with fire, you get burnt. [Pv : Abby] EmptyJeu 22 Nov - 16:37






Abby Abra


Marchant d’un pas rapide dans le couloir, je me dirigeai vers une salle de cours, au troisième étage. On venait de me prévenir qu’un élève de gryffondor avait été surpris en train de parler d’une certaine résistance. En tant que préfet en chef, je me devais de régler cette histoire. Il y avait tellement de rumeurs que je commençais à me dire si ce qui courait dans Poudlard était toujours vrai. Sur le mur on pouvait voir encore quelques traces de la bataille qui fit rage durant les vacances de Noël. Fort heureusement pour moi, je me trouvais chez mon oncle, au chaud et en train de penser à la nouvelle rentrée de Janvier. Je ne me serai douté qu’un tel acte se serait passé par Blade. Maintenant, le monde des sorciers est plongé dans le côté obscur et de mon point de vue, cela ne pouvait que favoriser mes petites affaires. Je savais qu’à mon retour au château, mon pouvoir sur les autres allait grandir. Les serpentards étaient, comme je l’avais prédit, à l’honneur. Et ce fut comme ça que je devins préfet en chef. Une place que je ne pus refuser lorsqu’on savait le nombre important de privilège qu’il y avait à la clé. Abbygaëlle avait eu cette même chance que moi. Un joli duo. Mais je sentais au fond de moi un léger frisson en regardant le mur noirci par les sortilèges. Une question trottait dans ma tête : qu’aurais-je fais si j’avais été ici durant la bataille ? Aurais-je pris le parti de Blade ? Ou bien aurais-je pris celui de la résistance ? Un choix complexe car dans un sens, vu que je suivais la plupart des idéaux du seigneur des ténèbres, mon devoir était donc de me battre à ces côtés pour montrer ma bravoure et ma loyauté. Mais dans un autre sens, je ne me voyais pas tuer ou bien même blessé gravement des personnes que j’avais côtoyé pendant plusieurs années. Même si pour la plupart, je les détestais, c’était pour moi une question de principe. Principe qui me fit différent de la plupart des autres élèves de la maison Serpentard. Enfin, je ne devais plus me poser cette question vu que cette bataille venait de se terminer par la victoire de Blade.

Arrivant dans la salle de cours, je fis éruption en ouvrant la porte brutalement et la refermant de même. Je vis au centre, un élève de septième année qui appartenait à la maison des lions. A ses deux côtés, je vis mes deux acolytes qui me servaient plus de pions. L’un d’entre eux tenait la baguette de notre prisonniers ou plutôt invité devrais-je dire. Arborant un sourire au coin de mes lèvres, je me dirigeai vers le centre de la pièce, m’arrêtant devant la fine silhouette qui se trouvait les genoux à terre et les deux mains derrière la tête. D’une voix fine, je pris la parole m’adressant à l’un de mes deux acolytes, le plus costaud. « Commençons l’interrogatoire. Allons voir ce que ce charmant jeune homme a à nous dire. » Soudain, le plus costaud leva sa baguette et la pointa sur le gryffondor en prononçant la formule du doloris. Je fis un expelliarmus pour le désarmer. « Ca va pas la tête ?! C’est quoi cette attitude de sauvage. La parole avant la violence mon cher, la parole … » Je trouvais que la plupart des serpentards étaient trop stupide dans le sens où il ne faisait qu’utiliser la violence. On était peu à utiliser la parole avant la violence, malheureusement. Je savais très bien pourquoi la parole avait une importance cruciale dans ce conflit. Il ne fallait pas se voiler la face : une résistance allait s’organiser pour faire des actions contre les serpentards et renverser le pouvoir en place. Mais il fallait montrer aux élèves qu’on pouvait se montrer diplomate aussi. Montrer en quelque sorte une autre vision de nous. Je revins à notre interrogatoire et m’accroupis pour être au niveau de notre jeune lion. Emettant un rictus, je le regardais droit dans les yeux. Aucune peur … que du courage, un vrai lion à ce que je pouvais en juger. Cela n’allait pas être facile de savoir si ce qu’il allait nous dire était vrai ou faux ou bien même s’il allait nous dire toute la vérité ou bien qu’une partie. « Alors voilà on va jouer à un jeu. Je te pose des questions et tu réponds. Si ta réponse me satisfait on passe à la suivante. Sinon je te laisse entre les mains de mes deux amis. Et tu as pu voir de quoi ils étaient capables. Ils sont malheureusement moins diplomates que moi. Ai-je été clair ? » Mais le jeune ne me répondit pas. Qu’est-ce que ça pouvait m’agacer parfois ce courage qu’étaient doté les gryffondors. De vraies têtes de mules. Mais un jour, cette vertu les perdra. « On va prendre ton silence pour un oui … enfin soit, alors j’ai cru comprendre que tu possédais des informations sur une certaine rébellion dans l’école. Dis-moi en plus je te pris. Je suis de nature très curieux. » Sa réponse ne se fit pas attendre et elle me fit plutôt sourire. « Crève sale serpentard. Je préfère mourir que répondre à ces questions ! » Je me relevais, le regardant de haut. Je vis de suite qu’il ne voulait pas parler et j’avais d’autres chats à fouetter que de rester là, en train de gaspiller mon temps dans un interrogatoire qui n’aboutirait à rien. Prenant le chemin de la sortie de la salle, je demandai à mes deux acolytes de venir me voir. Il fallait que je leur dise des consignes strictes et précises sinon le pauvre gryffondor, il allait faire un petit tour à l’infirmerie. « Bon, je vous le laisse. Essayez de savoir si cette rébellion est réelle ou pas et venez me prévenir de vos trouvailles. Ah et je ne veux pas le voir à l’infirmerie. Vous pouvez utiliser le doloris mais n’en usez pas trop ! Sinon c’est vous qui y gouterez. » Refermant la porte derrière moi, je pris la direction de ma salle commune pour me reposer un peu.

Mes yeux étaient rivés sur le feu de cheminée. Je pouvais entendre le bruit de bois qui se brisait face aux flammes. Je m’étais assis sur le canapé de la salle commune qui semblait être très peu peuplée. Sûrement que les autres serpentards se promenaient à la recherche de leur future proie ou bien en train de faire des mauvais coups par-ci par-là. Une occupation assez divertissante lorsqu’on s’y connaissait et qu’on ne faisait pas des pièges puériles du style balancer des bombabouses sur les autres. La chaleur du feu et la lumière que projetaient les flammes me fit fermer mes yeux doucement. Je venais de m’assoupir sur le canapé de la salle, mes deux mains à côté de mes genoux, mon dos au fond du canapé. Après quelques minutes plongés dans le noir, une lumière blanche se fit voir puis une maison qui commençait à prendre feu. Cette maison, je la reconnaissais : c’était celle de mon oncle. Je me voyais courir dedans pour aller secourir l’elfe de maison qui ne pouvait sortir à cause de la fumée épaisse. Sortant de la maison, le visage recouvert de noir, je déposai mon elfe sur le sol, le voyant en train de se mourir. Je ne pouvais accepter ça. Depuis mes vacances d’été, une nouvelle relation s’était installée entre moi et mon elfe. Je le respectai et en échange, je pouvais me confier à lui sans craindre qu’il ne divulgue quoique ce soit. Je m’étais déjà confié à lui, lui demandant pourquoi j’étais si cruel parfois envers les autres, pourquoi j’étais devenu l’homme que je semblais être aujourd’hui : un manipulateur au cœur de pierre. La conversation que j’avais eue avec lui m’avait montré que, malgré mes ambitions sombres, j’avais un cœur, je pouvais aimer des gens, des êtres vivants même. Cela me surprit sur le coup vu qu’avant, je ne pensais pas être comme ça. Je savais juste que je ne faisais aucune distinction entre les maisons, ni les sangs pour une question de pratique dans le futur. Je me voyais alors verser quelques larmes sur le corps de mon elfe, qui venait de trouver la mort. Puis j’entendais mon prénom.
J’ouvris mes yeux et compris que tout ceci n’était qu’un mauvais rêve. Mauvais rêve ou un présage ? Je n’en savais rien mais là n’était pas la question. Je vis mes deux acolytes qui semblaient être de retour. Le plus costaud prit la parole, avec une mine de chien battu. « Aucunes informations n’a été récoltés. Désolé Abraxas … mais peut-être que ce n’est qu’une rumeur qui est fausse ? » Oh non cette rumeur me paraissait plus que vraie. Et c’était même logique. Blade devait se douter que des résistances allaient s’organiser contre lui. Cela s’était bien produit contre Voldemort dans les temps reculés. « Mouais … enfin on verra bien. Pour l’instant, profitons de notre nouvel avantage dans ce château … » Ce fut alors que je vis une jeune fille arriver dans la pièce centrale de la salle commune : Abby. Je me levai et fis d’un ton assez jovial, comme si je ne l’avais pas vu depuis des lustres. « Abby, ma chère Abby ! » Arrivant vers elle, je lui fis une bise pour la saluer. Il ne fallait pas perdre les bonnes habitudes. « Je peux te voir en privé, il faut qu’on parle ! » Mes deux acolytes m’avaient rapporté que mon amie trainait souvent avec un jeune serdaigle du nom de Viridian, un sang-de-bourbe. Bien que cela ne me dérange pas pour son sang, j’étais bien curieux de savoir sa relation avec cet élève. L’invitant à sortir de la salle commune, je lui proposai de se rendre dans le parc de l’école pour être à l’abri des oreilles indiscrètes. Invitation qu’elle accepta. Après tout, elle ne pouvait pas trop refuser, à part si elle avait une chose à cacher ou un sujet à éviter … Durant le trajet, on bavarda de tout et de rien et le sujet principal était bien sûr les vacances et la bataille de Poudlard. « Alors comment se sont passés tes vacances Abby ? As-tu assisté à la bataille ? » Après cette petite discussion, nous arrivâmes dans le parc qui semblait être calme. Quelques élèves se promenaient mais sans plus. On allait pouvoir discuter tranquillement. Nous prîmes le chemin de terre pour qui étaient légèrement enneigés. Ah on voyait bien que l’hiver se trouvait là avec le froid qu’il faisait et la neige présente. Heureusement que j’avais pris mon gros blouson ainsi que mon bonnet et mes gants noirs. Une tenue que je n’appréciais guère aussi …



« Trying too hard to play with fire, you get burnt. »

© Macha






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Abbygaëlle Winchester
ஐ élève à Serpentard
Abbygaëlle Winchester


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Derrière la cape
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MessageSujet: Re: Trying too hard to play with fire, you get burnt. [Pv : Abby]   Trying too hard to play with fire, you get burnt. [Pv : Abby] EmptyMer 28 Nov - 13:26

Je m’étais levée tôt aujourd’hui… Pourtant j’étais plutôt du genre à vouloir dormir jusque midi, mais les choses avaient bien changé depuis que Blade était au pouvoir. Oh ce n’était pas le nouveau seigneur des ténèbres qui m’empêchait de dormir ! C’était l’ombre menaçante de mon père… En effet ce dernier avait était libéré de prison en fidèle mangemort. De toutes façons vu ma difficulté à trouver le sommeil en ce moment cela revenait au même… Quoiqu’il en soit, mon père était donc de retour au bercaille et autant vous dire tout de suite que ce n’était pas la joie… Je devais me dépêcher de me lever, non pas qu’il avait une puce ou ce genre de chose non ! Mais je devais aller à la bibliothèque réviser… Je vous jure c’est horrible ! Pendant mes années scolaires je n’ai jamais réellement travaillé tout simplement parce que j’avais déjà appris le programme pendant les vacances avec mes domestiques et qu’à partir du moment ou je me disais que je connaissais le truc le plus important les évaluations et les cours je m’en fichais… Mais au vu de mes notes mon père est entré dans une colère noire. Oh elle n’était pas si horrible ces notes, juste moyenne… Sauf qu’un Winchester n’était pas moyen, il était très bon ou alors il n’était pas un Winchester…

Je me levais donc rapidement pour me laver et m’habiller comme se le devait une petite écolière de Poudlard. Je descendis directement dans la grande salle pour prendre mon petit déjeuner. Elle était quasiment déserte a cette heure-ci, en même temps on était un dimanche, il n’y avait que les maso capable de se lever à cette heure un dimanche ! Ce fut à cette pensée que je me rendis compte a qu’elle point je pouvoir détester mon père et ses principes. Quand je m’assis à la grande table un hibou vient à ma rencontre. En reconnaissant Fera, je compris de qui venait cette lettre et un sourire éclaira mon visage. Je glissais la lettre sans la lire. Je ne devais pas prendre le risque qu’on lise à travers mon épaule… Je terminai donc rapidement mon petit déjeuner et me dirigeais dans un petit coin sombre de l’école pour ouvrir la lettre.

Je me mettais contre les parois froides et lisais avec attention. C’était bien John. Il lui disait qu’il avait rejoint la résistance… John était un ancien Serpentard, il avait trois ans de plus que moi, mais surtout avait été mon premier et dernier petit ami… Un lien fort nous liait. J’étais était heureuse de savoir qu’il était en vie… Il me racontait un peu sa vie, sans me donner beaucoup de détails ce qui était logique.. Après tout j’étais la fille d’un mangemort renommé, il ne pouvait pas prendre ce risque et je le comprenais… Il me disait aussi que je lui manquais… Ne vous méprenez pas ! On ne s’aime plus, enfin si mais plutôt comme un frère et sa sœur. Quoiqu’il en soit, il me rappela que je devais bruler la lettre après lecture… Je le savais et ça me faisait toujours mal au cœur de le faire.. Après tout c’était une sorte de souvenir qu’on réduisait à des cendres… Je soupirai et sorti ma baguette lançant un simple incendio qui désintégra la lettre… Bon et bien il était l’heure d’aller bosser.
Je m’en allais à la bibliothèque et commençait mon travail qui m’ennuyait déjà… Après plusieurs heures de dure labeur, bon d’accord une heure et demi de vrai boulot, je décidais que j’avais fait ma béa de l’année et que je pouvais très bien profiter du moment ! Je repartis donc dans notre salle commune.

Je dis le mot de passe et la porte s’ouvrit avec son son caractéristique. J’avais toujours aimé ce bruit, je me sentais chez moi dés que ce grincement retentissait. J’avançais d’un pas fier dans la salle commune des Serpentards. Plusieurs personnes tournèrent la tête pour voir qui venait d’arriver, mais ils détournèrent le regard bien vite lorsqu’ils aperçurent que c’était une Winchester. Qui plus est, Abbygaëlle était devenue la préfète en chef de Poudlard, un honneur, mais surtout un pouvoir. Elle trouvait cela agréable elle ne pouvait le nier et remercié au fond d’elle son rang qui lui avait permis d’arriver là. Cependant, alors qu’elle continuait d’avancer, une voix se fit entendre, une voix familière qu’elle appréciait sincèrement. Heureusement ce n’était pas encore cette Sarah qui n’arrêtait pas de vouloir lui parler ! Quoiqu’il en soit, Abby s’arrêta et attendit que le jeune homme vienne à sa rencontre. Abraxas était l’un de ses seuls amis envers qui elle avait un respect qui s’était installé. Le jeune homme avait donc une place à part dans son cœur, elle le considérait comme son acolyte. Elle pensait toujours qu’ils formaient le plus beau des duos que ce siècle ait connu ! Il lui fit la bise, chose réservé à très peu de personne, après tout, tout le monde n’était pas familier avec une Winchester. Alors qu’elle allait entamer une conversation totalement anodine, le jeune homme lui demanda un entretien en privé. La jeune femme fronça les sourcils. Que voulait-il lui dire de si privé ? Elle détestait lorsqu’on utilisait l’expression « Il faut qu’on parle », cela n’avait jamais rien apporté de bon.

Nous bavardions gaiement sur la route menant au parc, enfin apparemment c’était là qu’il voulait m’emmener. Soudain, la question fatidique se posa.. La bataille de Poudlard et comment s’était passé mes vacances…


« Et bien.. Non j’étais chez moi pendant la bataille. Et toi tu y as assisté ? » au fond de moi j’étais heureuse de ne pas avoir été dans les parages… Je n’aurais tout simplement pas su quoi faire… Je ne partageais pas les idées de mangemorts, mais j’étais bien une Winchester donc mon camp était censé être choisi depuis longtemps…

« Et pendant les vacances mon père est sorti de prison donc… On a fêté son retour dirons-nous. » Ajoutais-je avec un petit sourire qui en disait long. Abraxas n’était pas réellement au courant du fait que mon père avait la main lourde, mais il s’en doutait surement après tout cela faisait près de 7 ans qu’on se connaissait à présent et il savait grâce a mes dires que mon paternel était très stricte et que son retour allait opérer beaucoup de changements dans ma vie.

Nous étions enfin dehors. Il faisait froid et je détestais le froid ! Je n’avais pas prévu de sortir moi ! Du coup je me retrouvais simplement avec ma robe de sorcier, le pire dans l’histoire était que j’étais du genre frileuse… J’espérais sincèrement que son besoin de parler n’allait pas prendre trois heures…

« T’exagères Abraxas ! Il fait froid dehors je me les caille moi ! » dis-je d’une bougeonne me frottant énergiquement les bras.
c
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